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it's me, Invité darling !
|  Sujet: Adrian Page { VALiDE  Mar 17 Juin - 23:00 | |
| ADRIAN PAGE I - Carte d'identité
NOM : Page
PRÉNOM(S) : Adrian, Jackson
DATE DE NAISSANCE : 16-01-84
SIGNE DU ZODIAQUE : Capricorne
LIEU DE NAISSANCE : Middleton - Idaho
NATIONALITÉ : Américaine
II - ADRIAN PAGE& HIMSELF :
HISTOIRE : La naissance et l’enfance d’Adrian furent des plus banales. Un enfant nourrit et choyé dans une atmosphère la plupart du temps joyeuse, cadet d’une famille de trois enfants, adoré par son père et câliné par sa mère, on ne pouvait guère rêvé meilleur tableau pour une enfance basée sur de solides fondations. Ses deux sœurs aînées de plusieurs années voyaient en lui une véritable poupée vivante, et, avide d’attention, il ne s’en plaignait pas, bien au contraire. Ses débuts à l’école furent laborieux : comme souvent à cet age, il y avait plusieurs camps, et certains élèves étaient du genre pestiférés. Non, essuyez cette larme qui apparaît au coin de votre œil, il ne faisait pas partie des petites victimes de la cruelle enfance, ni même de ces bourreaux qui dictaient une loi aux autres. Adrian était ce garçon calme et pacifique et adorable, et tout aussi choyé qu’il était à la maison, il était né en lui ce besoin de trouver à son tour quelqu’un à protéger.
Ce quelqu’un se personnifia à l’arrivée de Jean, un petit français directement expatrié par des parents voyageurs qui avaient envie de posséder une ferme quelque part en pleine amérique. Étrange, mais véritable, ce Jean houspillé par les autres de l’école primaire à cause de ses manières et de son accent français à couper au couteau, fut la chance inespérée que notre petit Adrian attendait pour pouvoir à son tour goûter au bonheur de prendre soin d’autrui. Cette mentalité avait tout pour faire de lui sinon un représentant ecclésiastique de dieu sur terre, au moins un de ces types qui n’aspirent à rien d’autre dès la majorité arrivée, qu’à tomber amoureux et à se marier avec la première brave fille venue.
Heureusement pour notre histoire (mais beaucoup moins pour notre héros), l’arrivée de Jean dans sa vie fut l’élément perturbateur à ce schéma parfait qu’avaient prévus ses parents pour leur fils unique. A cinq ans, le petit français ne pouvait bien évidemment pas faire de mal à grand monde, mais en grandissant, il s’avéra que son caractère n’était pas exactement le même que celui d’Adrian, sans doute à cause du fait que son contexte familial avait quelques ratés. Enviant sans se l’avouer la perfection du cocon de notre personnage, il commença, à l’adolescence, par lui faire découvrir les joies de la fête, et du découchage. Les filles, l’alcool, le fun. L’idée de devenir quelqu’un de « cool », les prit tous les deux, et ils se mirent à faire de ces choses folles que font les adolescents. Les quatre cent coups. Les premières expériences amoureuses, les flirts, la cigarette, qu’il commença à 17 ans et à laquelle il devint dépendant. Mais Adrian était un bon élève, Adrian était populaire, bien plus que Jean, et Adrian parvint sans problèmes à intégrer l’université du coin, au grand contraire du français qui avait manqué volontairement les épreuves de fin d’année de lycée. Heureusement que le jeune homme, à qui les professeurs destinaient un avenir « prometteur » si il se décidait à travailler un peu plus, avait toujours le soutient de sa famille. Malgré toutes ses incartades, Page a toujours travaillé un minimum. Sur les souhaits de sa mère, il choisit le droit. Il prend un appartement sur le campus, s’éloigne de Jean, se fait de nouveaux amis. S’assagit, en quelque sorte. L’espoir qu’il devienne un brave avocat et épouse une fille du coin vient naît à nouveau dans l’esprit de sa famille, d’autant plus maintenant que sa plus grande sœur vient d’avoir son premier enfant. Un an, puis deux passent avec succès, et lorsque se termine sa troisième année, notre héros rentre chez lui, une licence en poche avec devant lui encore deux années avant de pouvoir être officiellement être appelé « Avocat ».
Jean, il le voit uniquement pendant les vacances, et c’est justement pendant ces vacances d’été-là qu’Adrian va se laisser convaincre d’aller faire un tour à la frontière mexicaine. Jusque ici, rien de grave, me direz vous, mais après deux semaines de totale éclate, voilà qu’ils sont au retour arrêtés à la douane. Tous les deux sont fouillés et on découvre sur le Français un petit tas de substance illégales qui n’ont pas lieu de se trouver là. Mince. Difficile à prouver aux flics qu’il n’y est pour rien, et c’est après le mois le plus long de sa vie que le jeune Page parvient à être libéré, puis relaxé. Ses parents n’y sont pas étrangers, et à présent qu’ils osent parler de la mauvaise influence de Jean sur lui, le jeune homme refuse d’admettre l’évidence. Son ami a, de plus, des problèmes beaucoup plus important, et risque de passer pas mal de temps dans les prisons mexicaines…
Retour à la fac, mais le cœur n’y est plus. Le jeune homme ne peut s’empêcher de se sentir coupable de la réclusion de son ami, et il préfèrerait mourir que d’admettre que tout est de la faute de Jean, lequel est bien évidemment loin de laisser Adrian en paix. Si il n’a pas la petite vie de famille que tout le monde lui prédisait, il a, en attendant, le cœur du gentil garçon près à tout pour aider son meilleur pote. Le destin joue pourtant en sa faveur en le laissant voir des traits de caractère de Jean qu’il était loin de soupçonner. Une violente dispute, des insultes, et enfin, ils ne se parlent plus. Libéré, il retourne étudier beaucoup plus « serein ».
A 23 ans, il est diplômé, major de sa promo et est employé comme stagiaire dans un petit bureau d’avocat de Phoenix. Séparation d’avec sa famille, son passé, mais vie professionnelle brillante en vue. Disparu le garçon fêtard d’antan, avec Jean, tout est oublié, enterré. Il commence même à prendre du plaisir à son job, ou presque. Tant mieux pour lui, car cela ne va pas durer.
Le pire plan de sa vie. Un soir, devant sa porte, le Français. Il vient s’excuser pour les mots échangés, ils se pardonnent tous deux assez facilement, et ils se rendent au bar échanger à nouveau les souvenirs du passé. Deux ans. Deux putains d’années parties en fumées. Les remarques de son ami ne manquent pas de lui monter à la tête : c’est vrai qu’il avait toujours rêvé d’autre chose que d’une brave vie de fonctionnaire. C’est vrai que ça n’est pas en bossant comme petit employé de bureau qu’il fera le tour du monde. Et alors, Jean lui parle de son plan.
« Tu me dois bien ça », qu’il lui a sortit, au bout d’un moment. Ces mots, il les a passé et repassé dans son esprit. Indéfiniment depuis ce jour là. Mais il s’est laissé convaincre, toujours victime de sa foutue conscience. Son meilleur ami est comme un frère pour lui, un frère qui… Va le mener à braquer une banque.
Oui, il a été con. Mais le plan était parfait. Et l’argent aurait pu lui permettre de réaliser ses rêves qui dépassaient ceux, beaucoup plus modestes, qu’avaient battis pour lui sa famille.
Vous voulez connaître les raisons de son arrivée à Jéricho? Le braquage a mal tourné. Jean était devenu complètement fou. « On les tue tous et on se tire : pas de témoins ». Il fallu à Adrian de faire preuve de beaucoup de persuasion. Puis, l’arrivée des flics.
Comment il a pu se tirer de là, difficile à dire mais toujours est-il qu’un homme de race blanche, aux yeux bleus, probablement armé et possédant une somme d’argent très élevée est recherché dans l’état d’Arizona. Heureusement qu’il avait le visage camouflé…
Jericho n’était pas exactement la destination de ses rêves. En réalité, comme tout fuyard qui se respecte, le jeune homme voulait se tirer au Mexique. Son rêve, sa destination finale. Il est hors de question pour lui de revoir à nouveau sa famille, il ne sait pas vraiment quels renseignements les flics ont sur lui. Mais voilà : il était parvenu à se faire promener par une nana à l’air assez innocent pour ne pas être suspectée par les flics, et il s’est fait voler. Elle lui a piqué le sac contenant tout l’argent. Inutile de dire qu’il ne quittera pas la ville avant d’avoir récupéré son bien.
Oh, ça non…
CARACTÈRE Adrian est un individu tout à fait normal. Le genre de personne qui se lève le matin avec un fichu mal de crâne, dans le lit d‘une nana qu‘il ne se souvient pas avoir rencontré. Le genre qui passe tellement de temps à l‘extérieur, qu‘il a un réfrigérateur à moitié vide -et que le reste est périmé. Vous pourrez aussi ajouter avec une pointe d‘ironie, qu‘Adrian est aussi le genre de personne à cambrioler une banque, ce qui là, n‘est pas tout à fait des plus normal. Mais bon, mis à part ce petit évènement de sa vie quotidienne, le jeune homme était une personne que l‘on aurait pu qualifier de garçon cool et sans -trop- d‘embrouilles.
Le jeune homme est, depuis qu‘il s‘est retrouvé en possession du fameux sac, un être humain assez différent de ce qu‘il était auparavant. Renfermé, solitaire, et un tantinet paranoïaque. Ces histoires de Zodiac, autant vous dire qu‘il s‘en tape complètement, tant son idée principale serait de retrouver son cher, cher bien. L‘argent vous change un homme, n‘est-ce pas? Il est assez méfiant. Peut-être violent. A toujours le frigo aussi vide qu’auparavant, et ne dit jamais non à une bière. Tel le mâle ayant grandit dans une ville assez petite et ayant fait ses études dans une de ces facs américaines où les quaterbacks sont plutôt bien vus, on ne peut pas dire qu’il est du genre à refuser les avances d’une jolie fille, surtout avec un peu d’alcool dans le sang, et on ne peut pas non plus dire qu’il est du genre à s’attacher à la gente féminine. Adrian n’est pas un poète, ça n’est pas ce garçon mélancolique qui vous regardera avec un air de chien battu. C’est plutôt un ténébreux au caractère de chien et aux manières parfois brusques, à l’air réfléchi, parfois, et qui peut-être capable de pas mal de choses pour parvenir à ses fins. Oui, têtu, vous pouvez le dire. Mais ça lui va bien. N’oublions pas enfin les nombreuses fois ou il agit sur un coup de tête. Un défaut sans doute, peut-être aussi une qualité. Souvent sans réfléchir, ce qui lui a porté maintes fois préjudice, et ce, encore aujourd’hui. Ne vous avais-je pas parlé d’un certain sac?
J'AIME / J'AIME PAS Adrian aime se rouler lentement une cigarette et sentir l‘odeur de tabac presque humide s‘échapper du paquet, alors que ses doigts façonnent avec précaution le petit rouleau de nicotine qui atterrira sur ses lèvres pour le droguer un peu plus. Il aime sentir l‘envahir l‘euphorie due à l‘alcool et cette sensation de pouvoir qu‘il ressent à ce moment là. L‘idée que tout est possible, qu‘il peut conquérir le monde et que ses problèmes partent en fumée. Ces moments durant lesquels il plane tellement haut qu‘il serait criminel de le faire descendre, et où tout n‘est que bêtises, et qu‘alors ses mains et ses lèvres écrasent celles d‘une inconnue dont il ne se souviendra pas même du prénom au matin.
Adrian aime passer du temps tout seul, et il aime passer du temps avec les personnes qu‘il apprécie et pour lesquelles il ferait n‘importe quoi, malgré son caractère dur et ses mauvaises manies qui font de lui, à première vue, un égoïste sans scrupules, ce qu‘il n‘est pas, au final. Il aime sentir la pluie lui tomber dessus et noyer toutes ses pensées, et aime marcher au bord de la mer. Allez donc lui faire avouer ça.
Mais il n‘aime pas être tourmenté. Comme tout le monde. Il n‘aime pas savoir qu‘il a été dupé, et n‘aime pas non plus se rendre compte qu‘il a été trahi. Bien sûr, comme tout le monde. Il est capable de prendre alors des mesures qui sur le coup lui paraissent juste, mais qui au final, sont plutôt extrêmes. Il suffit de voir les raisons de sa venue à Jéricho
III - ADRIAN & LES AUTRES
DESCRIPTION PHYSIQUE : Adrian est de taille moyenne. Des années de sport qu’il a pratiquées durant toute la période de ses études en fac, il a gardé des épaules larges et musclées, un ventre parfaitement plat, et des cuisses d’athlète. Pour le reste, il suffit de dire qu’il a un visage plutôt séduisant, pour quelqu’un qui a la plupart du temps une cigarette calée entre les lèvres et un air assez hagard. Souvent, en effet, son visage peut trahir une expression d’amusement, du genre « Tu m’ennuies », ou « Tu te rend compte à quel point tu es ridicule? », mais après tout, c’Est-ce qui fait son charme, si charme vous lui trouvez. Autrement, vous pouvez tout simplement détester son petit air arrogant qu’il arbore en permanence, mais ne resterez sans doute pas indifférent à son regard bleu vert qui se veut convainquant lorsqu’il n’est pas ironique, et surtout aux dents qu’il laisse apparaître toutes les fois ou il se laisse emporter par une vague d’humour. Un sourire ou un éclat de rire, et il vous aura conquis, du moins pour quelques secondes, avant que vous ne veniez à vous rappeler les raisons qui ont fait de lui votre ennemi public numéro un.
VIE QUOTIDIENNE A JERICHO ( 5 lignes minimum )[/size] : La vie quotidienne à Jéricho d‘Adrian?… Voyons, pour le moment, il recherche la nana qui lui a piqué son argent. Normal. Légitime. Le Zodiac, il s‘en tape totalement. Il est un homme, ne met pas en doute sa capacité à se défendre, ni celle à pouvoir se battre un tant soit peu contre un taré, et ne se considère de toutes façons pas vraiment comme une cible potentielle. Il ne quittera pas Jéricho avant d‘avoir récupéré son argent, et en attendant, parce qu‘il n‘est pas milliardaire, il cherche un job et tente de se faire oublier.
IV - PORTRAIT CHINOIS, si tu étais ...
UN ANIMAL ? Un Aigle.
UN OBJET ? Une cigarette
UN LIVRE ? L’attrape-cœurs
UN FILM ? Orange mécanique
UNE ODEUR ? Celle de l’océan
UN SENTIMENT ? L’impulsivité -Mais peut-on qualifier l’impulsivité de sentiment? Disons que c’est un substitutif plus doux à colère.
UNE CHANSON ? Belle & Sebastian - Sleep the clock around
UN PAYS ? Le Mexique
UN ÉLÉMENT ?Le vent
V - TOI, DERRIÈRE L'ÉCRAN
PRENOM :Marie
AGE :19
NIVEAU DE RPG ( /10 ) : 6
OU AS TU CONNU LE RPG ? Sur un top site
AVATAR : Hayden Christensen
POSTE VACANT ?Non
CODE ( il y en a 2 ) : VALiDE
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