NOM : Donovan, un nom de famille qui annonce d’ors et déjà ses origines Irlandaise du côté de son père dont elle a hérité ce nom. PRÉNOM(S) : Abigail, un nom plutôt courant qui n’a rien d’extraordinaire, ce qui n’est pas le cas de Laine sont second prénom qui est en faire le diminutif du prénom Elaine que possédait sa marraine mais que tout le monde appelait Laine quant à Anastasia, s'était le nom de sa grand mère maternel qui prouve ses origines russes. SURNOM(S) : Abby, un simple diminutif de son prénom utilisé par ses proches et bien entendu ce n’est donc pas à la porté de n’importe qui de l’appeler comme ça. DATE & LIEU DE NAISSANCE : Le 20 juillet 1983 à Toronto, Canada NATIONALITÉ & ORIGINES : On peut dire que les origines de Abby son multiples, Canadienne de naissance, Russe du côté de sa mère ainsi qu'Américaine par adoption puisqu’elle vit dans ce pays depuis longtemps désormais et Irlandaise du côté de son père. MÉTIER : Ecrivain, la jeune femme écrit des livres, elle entame son troisième et on peut dire qu’elle à bien réussi sa vie au niveau de sa carrière . Elle est avant d'être écrivain traductrice, elle traduit des ouvrages du russe et français à l'anglais en général ou inversement. GROUPE SOUHAITÉ : Strangers, Abby n'est censé être que de passage le car elle souhaite quitter la Californie, ou plutôt la fuir...
__ •• First of all : you don't know me.__
ASPECT PHYSIQUE : (10 lignes minimum) Abby est le genre de fille qu’on pourrait aisément qualifié de simple et naturelle. Sa jolie chevelure châtain qu’elle coiffe sans trop d’attention, le plus souvent elle attache ses cheveux en chignon ou en queue de cheval, ce n’est que les rares fois où elle les détache qu’on ne remarque la beauté de ses cheveux. Elle possède un visage doux et agréable avec des une peau quelques peu pale du à ses origines Irlandaises, de beaux yeux bleu qu’elle met en valeur avec un simple trait de crayon noir ce qui fait que son regard capte l’attention sans même qu’elle s’en rende compte. Il faut dire que le bleu de ses yeux ressort d’autant plus avec ses cheveux sombre ainsi que sa peau qui n’a rien de vraiment bronzée. Elle n’est pas du genre à passer des heures à se préparer dans la vie de tout les jours, Abby aime la simplicité, elle ne cherche pas vraiment à se mettre en valeur au quotidien, c’est surement ce qui fait encore plus son charme puisqu’elle reste une très jolie jeune femme qui ne déplait pas aux hommes. De plus elle est pas mal sportive, ce qui fait qu’elle entretient son corps et sa silhouette même si ce n’est pas ce qui la préoccupe le plus dans la vie. Elle n’est pas quelqu’un de très grand, elle fait à peine un mètre soixante ce qui ne l’empêche pas de se trouver bien comme elle est, elle ne changerait d’apparence pour rien au monde, elle se sent bien dans sa peau et c’est le principale à ses yeux. Sa simplicité lui donne un air quelque peu mystérieuse et difficile à cernée qui fait d’elle quelqu’un qui attire l’attention même si elle ne cherche pas à l’obtenir. Niveau vestimentaire, son mot d’ordre est la simplicité, elle adore par-dessus tout le confort d’un jeans dans lequel elle serait bien à l’aise, tout comme un débardeur la plupart du temps n’ayant rien de sophistiqué même si il faut avouer qu’elle aime quelques fois porter de jolies bustiers pour se faire plaisir et paraitre un peut plus féminine. Il est aussi fréquent de la voir porter des talons même si la plupart du temps elle est tout de même une adepte des converses ou des baquettes. On peut dire qu’il n’est pas fréquent de la voir porter des robes ou des jupes et les rares fois où elle peut porter ce genre de vêtements, il est facile de lire sur son visage le fait qu’elle ne se sent pas très à l’aise dans ce genre de vêtements.
CARACTÈRE DU PERSONNAGE : (15 lignes minimum) Le caractère d’Abby n’est pas vraiment simple à définir contrairement à son apparence. La vérité c’est que cette jeune femme possède un caractère bien trempé, elle ne se laisse en aucuns cas marcher sur les pieds et par qui que ce soit. Elle serait facilement capable de s’énerver sur un inconnu en pleine rue qui l’aurait bousculé sans s’excuser. Une chose est sure, Abby part au quart de tour et elle essaye par tout les moyens d’avoir le dernier mot, elle veut toujours avoir raison et de plus elle est l’incarnation exacte de l’expression « têtu comme une mule ». Elle n’est peut être pas très grande mais une chose est sure, il ne vaut mieux pas la mettre en colère au risque d’en payer le prix fort. Elle oublie parfois de réfléchir et se laisse aller à son impulsivité, on peut dire qu’elle à la main lourde dans le sens où avec elle les gifles partent très vite. Mais n’aller pas croire qu’Abby est un monstre loin de là, derrière ses aires de femme forte qui ne se laisse pas faire, on peut découvrir un grand cœur en guimauve. Il faut dire ce qui est cette jeune femme est une grande rêveuse, même à vingt-sept ans et avec tout ce qu’elle a enduré dans la vie elle a encore tendance à croire en l’existence du prince charmant. Elle est quelqu’un sur qui ses proches peuvent toujours compter, car c’est sur que pour aider les autres elle est toujours là. De toutes façon elle déteste rester sur le banc de touche alors il est évident que des qu’elle a l’occasion d’agir elle le fait. Il n’est pas rare d’entendre ses éclats de rires raisonner lorsqu’elle se sent bien entouré, elle est joyeuse de nature tout comme pétillante, elle adore s’amuser et il se trouve qu’elle est tout de même resté une grande enfant au fond d’elle ce qui fait qu’elle est parfois aussi impérative et amusée par tout ce qui l’entour, ce qui lui donne un aspect mignon comme si elle avait à nouveau à peine cinq ans. Au fond tout ça cache une nature timide et fragile, sous ses aires de femme indépendant ayant bien réussit sa vie, elle n’est encore qu’une petite fille pleine de doute, de regrets qui se sent encore des fois un peut trop seule et qui est effrayer par la vie dans laquelle elle se sent encore perdu en solitaire loin de sa famille et ses amis.
J'AIME OU J'AIME PAS : (10 lignes minimum) Dans la liste des choses que Abby aime, il y a premièrement la vie elle même. Abigail est le genre de personnes qui vie à cent à l'heure et qui profite pleinement de chaque instant comme si il pourrait être le dernier, non pas qu'elle pense qu'elle va mourir mais simplement qu'elle ne veut pas avoir de regrets un jour en se disant qu'il est trop tard, surtout qu'elle a déjà trop de regrets sur le cœur pour en ajouter des nouveaux. Inutile donc de préciser qu'elle aime l'aventure et prendre des risques, c'est simple cette jeune femme est une vrai casse coup. Inutile donc de préciser que la jeune femme est une grande amatrice de sensations fortes, d'ailleurs elle adore la vitesse et à tendance à rouler un peu trop vite sur la route car sinon elle trouve rapidement que conduire est ennuyeux si on ne peu pas s'amuser à faire des pointes de vitesse. Abby aime se sentir en sécurité, au fond elle n'est pas quelqu'un qui ai beaucoup confiance en elle même ce qui fait qu'elle n'aime pas se sentir seule dans quel cas elle se sent complètement perdu et démuni. Si il y a une chose, ou plutôt un endroit qu'elle aime par dessus tout, il s'agit des halls d'aéroport, à Buffalo elle partait de chez elle jusqu'à l'aéroport simplement pour s'assoir et regarder les avions décoller, elle trouvait que ce lieu incitait à rêver et elle aurait pu rester dedans pendant des heures.
LES 5 MOTS : Canada - Littérature - Musique - Russie - Solitude
MATTHEW D. JOHANSSON : Son plus vielle ami tout comme celui qu'elle qualifie depuis toujours comme l'homme de sa vie. Elle le connait depuis qu'elle a onze ans, il venait passer les vacances d'été à Buffalo, là où elle habitait. On peut presque dire qu'elle eu un coup de foudre pour lui dès la première seconde en vérité malgré ce faux semblait de méchanceté envers lui. Il représente toute la vie d'Abby puisque tout ce qu'elle a fait fut en réalité en fonction de lui, ou presque. Au final ils se sont perdu de vue depuis cinq longues années après que le jeune homme n'est arrêté de lui donner des nouvelles. En vérité elle ne l'a jamais oublier, elle est même aller jusqu'à écrire un livre sur eux deux auquel il n'a jamais fait de commentaire.
__ •• If I were something else__
Dans cette partie remplissez chaque intitulé en fonction de la phrase suivante “ Si j'étais ... ”
UN ANIMAL : Un loup UNE SAISON : Le printemps UN OBJET : Un carnet de notes UNE CHANSON : Avril Lavigne - Nobody's Home UNE ODEUR : la vanille UN LIVRE : Celui qu'elle a écrit UN PAYS : Le Canada UN FILM : 10 things I hate about you UN SENTIMENT : Le courage UN DES QUATRE ÉLÉMENTS : Le feu UNE CITATION : Il ne faut jamais dire jamais
__ •• Behind the screen__
PRÉNOM OU PSEUDO : Clem AGE : 17 ans EXEMPLE DE RP :
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Une nouvelle journée plutôt calme dans la ville de New Heaven. Alexia avait travaillé la plus grande parti de la journée pour préparer un spectacle à venir dans la jolie salle qu’elle gérait mais même si la paperasse n’était pas ce qu’elle préférait dans son travail, elle s’en accommodait largement. Et puis cette dernière semaine lui avait paru plutôt calme et sans trop peut d’intérêt puisqu’il manquait quelque chose presque devenu indispensable à son quotidien. Au moins sont boulot lui avait tenu l’esprit occuper pour ne pas laisser ses pensées divaguer trop. Tout le monde avait déjà quitté la salle alors qu’elle était encore entrain de finir ses derniers papiers. Quelques dernières signature et elle quitterait les lieux pour regagner son chez elle auquel elle tenait tant et puis elle se détendrait un peu en attendant que le lendemain n’arrive finalement enfin. Elle classa ce qui trainait sur son bureau avant de finalement en sortir. Elle s’arrêta quelques instants en se laissant aller à la contemplation de la salle, elle lui rappelait bien des souvenirs en réalité. Elle se souvenait encore avec exactitude de la première fois qu’elle avait mi les pieds ici, elle n’était alors qu’une jeune enfant accompagné de son père, le meilleur des pères d’après elle mais elle ne faisait pas vraiment preuve d’objectivité. C’était lui qui lui avait donné envie de travailler dans se domaine, il lui avait transmit la passion qu’il avait pour la musique et tout ce qui touchait à la culture. En réalité surtout la peinture car dans ce domaine là, Alexia disait souvent que son père était son idole, il était artiste peintre et tout ce qu’elle avait appris dans cette discipline, elle lui devait. Elle avait toujours adoré cet endroit et le fait d’y travailler aujourd’hui était comme une sorte de rêve qui finirait enfin par s’accomplir. Pourtant elle ne pensait pas que cela arriverait un jour, elle ne se pensait pas capable de vivre seule dans cette maison qui lui rappelait tellement de choses et encore moins d’y rester pour une durée indéterminé au point de vraiment travailler ici. Une chose était certaine en tout cas aujourd’hui, elle se plaisait ici et n’avait aucune envie de quitter cette ville.
Elle fut surprise de sentir son téléphone portable vibrer du fond de sa poche, enfin surprise n’était pas vraiment le mot puisqu’elle se doutait, ou du moins elle espérait qu’elle aurait un signe de vie de ce très cher Dwayne ce soir puisque cela faisait presque une semaine qu’elle ne l’avait pas vue. C’était donc lui ce qui manquait à son quotidien en se moment puisqu’il était à New York. Cela lui faisait penser qu’elle n’avait d’ailleurs jamais vraiment mi les pieds dans cette vielle de sa vie et qu’il faudrait quand même qu’elle pense à le faire un jour. Il allait arriver à New Heaven d’ici une heure, et bien ce n’était pas trop tôt, comme quoi il lui avait manqué au fond même si elle avait un peu peur de l’admettre, mais sachant qu’il disait avoir hâte de la voir, cela était déjà quelques peu rassurant. Elle quitta donc la salle presque aussitôt, éteignant et fermant tout derrière elle. Dehors la journée touchait à sa fin puisqu’il était évident que le soleil n’allait pas tarder à laisser place à la nuit sombre éclairé par une lune claire ainsi que de magnifique étoile. Quelques lampadaire commençait à s’allumer le long de la rue ce qui annonçait bien l’arrivé du soir, l’atmosphère qui régnait ici était calme et reposante, c’était d’ailleurs très agréable de rester là juste à regarder le paysage sans rien faire. En tout cas elle ne s’attarda pas en contemplation car elle voulait rentrer chez elle pour l’instant, il fallait qu’elle passe voir sa chienne pour ne pas la laisser seule trop longtemps. Le pauvre animal devait surement l’attendre assise devant la porte au bord du désespoir, et oui, cette chère Puka n’aimait pas vraiment la solitude, comme quoi certains animaux ne sont pas mieux que leurs chers amis les hommes. Elle monta dans sa voiture, mit le contacte et roula doucement en direction de son chez elle qu’elle ne changerai pour rien au monde.
Arrivant chez elle, elle gara sa voiture juste devant dans la rue et fut accueilli comme à son attende par la jeune chienne de six mois qui attendait fidèlement devant la porte. Elle entra dans la maison suivie de son amie à quatre pattes, elle laissa sa veste sur le porte manteau le temps de se changer. Elle avait passé la journée à courir partout pour vérifier l’installation de la salle avec ses bottes à tallons préféré bien qu’elle ne soit pas fait pour se genre d’exercice, et bien entendu Alexia avait désormais aux pieds de belles ampoules. Ca lui apprendra à croire qu’elle peut faire des allers-retours sans en payer les conséquences sur ses petits pieds. Elle échangeât donc son pantalon noir contre un jean dans lequel elle se sentait des plus à l’aise ainsi qu’une vielle paire de converse qui avait vécu mais qui n’avait pas l’intention de rendre l’âme pour le moment. Puis elle redescendit dans l’entrer de la maison, choisissant de passer quelques instant avec Puka puisqu’elle ne l’avait pas vue de la journée, elle joua un peu avec elle dehors. Elle devait bien faire un effort avec ces pieds pour courir dans le jardin et s’amuser à lancer encore et encore la balle à ce chien qui semblait ne jamais être fatigué. Ce n’était pas pareil pour Alexia qui ne possédait pas la même endurance, elle rentra donc à nouveau à l’intérieur, elle mit à manger et à boire à Puka et puis elle commença a se préparé avant de ne quitter à nouveau la maison. Et oui, elle allait encore partir, puisque d’ici peu, l’heure avait tourné le temps qu’elle joue avec son chien, Dwayne serait à nouveau en ville et elle ne pouvait désormais plus lutter contre cette envie qu’elle avait de le revoir au bout d’une semaine sans lui qui lui avait paru très longue soit dit en passant. Attrapant son blouson, ainsi que ses clés de voitures, elle parti en fermant bien la porte derrière elle et remonta ensuite la rue en direction de la gare de New Heaven.
Elle arriva donc à la gare peu de temps après, elle était en avance car un train était annoncé sur le quai mais n’était pas encore présent, elle espérait au moins qu’il n’avait pas eu de l’avance et qu’il ne soit déjà chez lui alors qu’elle l’attendait à la gare, elle se serait senti fine dans cette situation. Elle attendait donc sur le quai en essayant d’apercevoir un train qui arriverait à l’horizon, les mains dans les poches car malgré tout, à cette heure de la journée le froid commençait à se faire sentir. Enfin son attente ne fut pas trop longue puisque le train arriva sur le quai à l’heure prévue, enfin en espérant que ce soit le bon, car douée comme elle est ce serait possible qu’elle attende des heures à la gare alors qu’il est déjà arrivé. Le train s’arrêta et les passagers commencèrent à descendre un par un, il n’y avait pas non plus grand monde car après tout New Heaven n’était pas le genre de ville où la foule est très présente mais il y avait tout de même assez de gens pour qu’elle ne voit pas Dwayne sur le quai. « Police ... On n'bouge plus (a) » Bon et bien, elle ne l’avait pas trouvé mais il semblerait que lui si, et dire qu’elle passait pour une véritable gamine par moment, il semblerait qu’elle ne soit pas la seule dans ce cas là. En plus il avait réussi à la faire sursauté, il aurait bien été avancé si elle ne l’avait pas reconnu et qu’elle l’ait giflé pour garder des distances de sécurité avec un inconnu. Mais bon il devait vouloir se faire pardonné ce petit sursaut qu’il lui avait provoqué puisqu’il l’embrassa. Il aurait peu être mérité qu’elle le repousse juste histoire de l’embêté un peu mais elle n’en avait pas envie, après tout cela faisait une semaine qu’elle ne l’avait pas vue. « tu m'avais pas dit qu'tu viendrais à la gare » C’est vrai, elle ne lui avait pas dit mais elle voulait lui faire la surprise et vue le sourire qu’il avait sur les lèvres, cela devait vouloir dire que c’était une bonne surprise. Mais bon elle avait envie de continué dans les petits jeux puériles, après tout c’est lui qui avait commencé en lui faisant peur hein. « En fait je venais chercher mon autre copain, tu l’as peu être croisé il est grand blond aux yeux bleu, très séduisant … Un peu dans ton genre en fait mais bon maintenant que t’es là je vais me contenter de toi (a) » Elle était fière de sa connerie, ça devait d’ailleurs se voir a des kilomètre vue le sourire qu’elle avait sur les lèvres.
Mais bon plus sérieusement, elle était contente de le revoir ce soir, comme quoi il lui avait vraiment manqué en une semaine loin d’ici. Elle le regardait toujours avec un grand sourire « Vue que t’avais hâte de me voir, j’ai pas voulu te faire attendre plus longtemps. » Oui enfin ça phrase tourné comme ça il pourrait croire qu’en fait elle était là seulement pour lui épargné un peu plus d’attente de la revoir et pas parce qu’elle en avait vraiment envie, alors que pourtant c’était le cas. Elle n’avait pas eu à réfléchir longtemps après avoir reçu son message, il était clair pour elle qu’elle allait absolument venir l’attendre à la gare. Elle avait vraiment très très envie de le revoir et rien ne pourrait changer cela et la dissuader de le voir. Et puis maintenant il était à nouveau là en face d’elle et elle ne pouvait plus du tout détacher son regard du sien, c’était désormais impossible. « Et puis moi aussi j’avais hâte de te revoir parce que tu m’as manqué » Comme ça c’était dit, elle ne laissait pas d’ambiguïté dans leur conversation ce soir. Elle n’allait pas lui mentir et lui dire que ce n’était pas le cas puisqu’il lui avait effectivement manqué, c’est sur qu’elle n’irait pas jusqu’à dire à quel point puisqu’elle craignait de se rendre ridicule et que lui n’ai pas penser à elle de tout son séjour loin d’ici. Restait alors à savoir ce qu’ils allaient faire ce soir, maintenant qu’il se trouvait à nouveau à New Heaven, ils n’allaient pas rester sur ce quai de gare pendant tout le reste de la soirée. Et puis il semblait assez fatigué par son séjour dans la ville qui ne dort jamais, alors il allait peut être vouloir rentrer se reposer. « Tu voulais faire quelque chose ce soir ? » C’est sur que rester là à se regarder dans le blanc des yeux n’était pas la chose la plus intéressante à faire, et puis peut être allait il avoir faim aussi car en tout cas l’horloge biologique de Alexia était réglé de telle manière à ce que dès que le soir était là, la faim le soit aussi, surtout que gourmande comme elle était, elle ne loupait presque jamais un repas. Aussi, Alexia était contente au final d’avoir pris la voiture pour venir jusqu’à la gare, bien qu’elle n’habite pas loin car si elle avait du marcher longtemps avec Dwayne, ces pieds aurait fini par la tuer car elle avait beau être en excellente compagnie avec aux pieds des chaussures désormais très confortable, il n’empêchait que les ampoules et la marche à pieds font deux.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU ROAD 666 ? Par Matt <3 CODES DU RÈGLEMENT :
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Robert Graysmith / San Fransisco
UNE SUGGESTION OU QUELQUE CHOSE A AJOUTER ?
Dernière édition par Abigail L. Donovan le Dim 17 Jan - 22:10, édité 22 fois
it's me, Athena R. James darling !
Date d'inscription : 03/10/2008 Nombre de messages : 818x group : Bounty Hunters x my job : Chasseur de Prime x my adress : Motel de Jericho
Sujet: Re: » Abigail Laine Donovan | Always lost in the sea Lun 2 Nov - 14:51
Mercii =) Et bien comme ça je démarre avec une alliée
__ •• Second of all : you'll never know that__
HISTOIRE : (25 lignes minimum)
Née de l’union de Zachary Donovan et de Lena Volkova à Toronto au Canada, la jeune Abigail était tout sauf quelque chose de planifié à l’avance bien au contraire. Elle est le fruit d’une relation entre deux personnes qui n’était pas vraiment prévu pour durée. Ses deux parents s’étaient rencontrés un soir où le jeune homme qu’il était à l’époque, venu tout droit des Etats Unis uniquement pour y passer quelques vacances, et la jeune femme était sorti boire un verre et avait littéralement eu ce qu’on peu qualifier de coup de foudre. Ils avaient passé la nuit ensemble avant de se quitter sans osés se dire le fond de leurs pensés. Puis leurs chemins se sont recroisés, ils passèrent du temps ensemble sans vraiment se dire qu’ils s’attachaient jusqu’au moment où ils découvrir que Lena était enceinte. Ils se disaient être trop jeune pour avoir un enfant, surtout depuis le peu de temps qu’ils se connaissaient et du fait que Zach ne vivait même pas dans ce pays, mais que faire ? Ils décidèrent finalement de garder le bébé ensemble et de se lancer dans une histoire sérieuse, Zach s’installa a Toronto avec elle et ils restèrent dans cette ville durant onze ans ensemble à élevé cette petite Abby.
Mais passons au plus important, c'est-à-dire Abby. Les clichés des enfants son souvent élogieux, surtout ceux sur les petites filles mais Abby n’était pas le genre d’enfant sage, surtout pas une petite fille modèle qui fait tout ce qu’on lui dit de faire et qui est adorable, loin de là même. Abby était plutôt la turbulence incarnée, le type d’enfants sur lesquels on cherche désespérément le bouton stop. Il était impossible de la voir rentrer le soir de l’école avec des vêtements propre, sans une écorchure ou une marque de coup, non pas parce qu’elle se faisait frapper, bien au contraire, elle appréciait tout particulièrement montrer aux garçons de son âge voir plus âgés qu’il ne fallait absolument pas la sous estimer et qu’elle pouvait se battre aussi bien qu’eux. Enfaite, dès son plus jeune âge, elle fuyait la compagnie des filles qu’elle trouvait totalement inintéressante, elle détestait toute ses histoire de princesses, les poupées et tout ce qui allait avec, elle préférait de loin l’action, l’adrénaline, prendre des risques, ce qui avait le don d’agacer ses parents qui aurait parfois bien aimé que leur fille ne soit pas calme simplement quand elle dort. Elle terrorisait tout ses camarades de classes, rare était ceux qui au final se risquait à la mettre de mauvaise humeur car il savait très bien qu’elle partait au quart de tour, néanmoins elle se faisait tout de même des amis, des garçons bien entendu la plus part du temps car d’après elle, eux au moins n’avait pas des conversations inutiles et barbante. On pouvait dire qu’elle choisissait ses amis et son entourage, elle n’avait pas envie de rester avec des gens qui l’agaçait plus qu’autre chose et avec qui elle n’aurait rien en commun, et elle n’avait pas tord. Abby a toujours eu un caractère très fort qui ne supporte pas qu’on la rabaisse, pour elle c’est comme un appelle, une provocation qui réveil en elle tout ce qu’il y a de plus combatif pour qu’elle montre de quoi elle est capable. S’il y a bien une chose que la demoiselle a toujours détester, c’est bien passer pour une abrutie plus qu’autre chose.
Au printemps de ses onze ans, son père fut muté à Buffalo dans l’état de New York aux Etats Unis. La jeune Abigail mis pas mal de temps a s’adapter dans ce nouveau pays, déjà pour la première raison qu’elle ne voulait pas quitter tout ses amis de Toronto et en plus car il y avait une chose qu’elle ignorait depuis toujours c’est qu’en réalité la famille de son père était contre l’idée qu’il fasse sa vie avec une jeune femme d’origine russe qu’il avait mise enceinte dès leur première rencontre. L’estime que la famille de son père à propos de sa mère n’était pas grande, tout comme celle qu’ils avaient de l’enfant venant de cette union. Son arrivé aux Etats Unis ne fut donc pas de tout repos au départ, et quand vint l’été sur la ville Buffalo elle fit la rencontre de deux personnes qui aux final marquerai sa vie entière, Matthew Johansson et Hayden Littleton. Leur première rencontre ne fut pas des plus amical, il faut dire que vue le caractère de la demoiselle, il est dur d’avoir une rencontre agréable avec elle en tout premier lieu. Mais au fur et à mesure qu’ils firent connaissance leur relation, ils finirent par devenir d’excellents amis. Malheureusement pour elle ces deux là n’étaient présents que durant l’été, le reste du temps elle devait le passé avec des gens qu’elle appréciait mais qui ne remplaçait en aucun cas ses deux compères. Il fini même par y avoir plus que ça puisqu’au final la jeune demoiselle fini par tomber réellement amoureuse de l’un d’entre eux, le dénommé Matt. Le hic c’est que ce n’était pas réciproque, pour lui elle était sa meilleure amie et ça n’irai jamais plus loin que ça, ce n’était même pas imaginable qu’il puisse se passer un truc entre eux deux un jour. Voilà l’histoire de la vie d’Abby, un amour a sens unique et des faux espoirs à n’en plus finir ainsi que de nombreuses déceptions, comme quoi l’amour ça craint. Enfin ça pourrait passer si seulement la jeune femme réussissait à se le sortir de la tête, à le faire devenir le meilleur ami qu’elle avait sans jamais vouloir plus mais ce n’était malheureusement pas si simple, surtout lorsqu’on sait que le jeune homme adorait multiplié les conquêtes qu’il collectionnait, sans se rendre compte du mal qu’il lui faisait, sous le nez de la demoiselle. Enfin elle ne pouvait rien changer à cette situation car on ne peut pas dire qu’elle ne faisait aucun effort pour essayer de l’oublier mais rien a faire elle en était incapable au point que lorsqu’elle essayait de se le sortir de l’esprit à l’aide d’un autre, elle finissait par briser le cœur de l’autre personne en question, c’était arrivé une fois, elle pensait vraiment que cette fois ci elle avait bien réussi à ne plus penser à Matt de cette façon, mais manque de chance lorsqu’il arriva a Buffalo, tout lui revint en pleine figure au grand malheur de CJ, le garçon avec qui elle sortait à cette époque.
Elle avait à peine dix sept ans lorsque sa vie prit un tournant qui la ruina elle et tout ce qui la rendait elle-même. Sa mère fut tuée par une balle perdue dans les rues de Buffalo. A partir de ce moment là, la vie d’Abby sombra peut a peu dans le désespoir et la noirceur, son père noya son chagrin dans l’alcool sans prêté attention a sa propre fille jusqu’au moment où sa famille lui bourra assez le crane pour qu’il se mette a insulté devant sa fille la femme avec qui il avait vécu pendant dix sept ans. D’après lui Lena avait mérité ce qui lui était arrivé, et si Abby n’apprenait pas à changer son comportement rapidement et arrêté d’idolâtrer sa mère comme elle l’avait toujours fait il allait lui arriver la même chose. Il décida d’envoyé sa fille à Los Angeles là où vivait sa tante qui détestait autant sa défunte belle sœur que sa nièce dont elle allait devoir s’occuper mais après tout pour elle cela représentait l’occasion de faire du bourrage de crane a la demoiselle et la rendre « acceptable ». Au final Abby ne fut qu’un enjeux, la jeune demoiselle de dix sept ans trop perdu et affecté par la mort de sa mère pour riposter au attaque de son propre père qui la laissait lâchement tombé et de sa tante qui souhaitait faire d’elle la même atrocité que ses gourdes de filles pourri gâtés. Elle était perdu, fragile et elle avait besoin de quelqu’un pour se battre pour elle et lui redonner espoir, sauf que personne ne l’a fait, elle s’est retrouver seule forcé de partir à l’autre bout du pays alors qu’elle n’en avait aucune envie d’y aller, loin de tout ce qu’elle connaissait et qu’elle aimait. Elle aurait voulu que n’importe qui s’interpose et lui prouve qu’elle valait mieux que ce que sous entendait toute sa propre famille, des gens qui sont sensé nous aimer et nous soutenir en temps normal. Elle aurait préféré aller dans la famille de sa mère à Toronto sauf qu’elle était encore mineur et sans l’accord de son père, qu’elle n’avait pas, impossible de passer la frontière. Elle fut donc trainer de force à Los Angeles.
Elle se retrouva donc chez sa tante qu’elle haïssait plus que tout au monde très certainement, mais elle ne fit pas long feu sous ce toit puisque à peine ses dix-huit ans arrivé qu’elle fit ses valises et parti seule dans les rues de LA. Elle n’avait nul par où aller, pas un sous en poche puisqu’elle refusait de parler a son père et qu’elle n’avait laissé aucune trace pour être retrouver parce qui lui servait de famille. Elle avait toujours Hayden et Matt au téléphone mais ce n’était plus pareil, il n’était pas là avec elle et ça lui brisait le cœur au fond, elle ne s’était encore jamais autant senti seule même si cela n’était pas près de cessé comme sensation. Elle se trouva un appartement miteux dans un coin mal fréquenté, puisqu’elle avait déjà commencé la fac, si elle voulait continuer et ça c’est sur qu’elle le voulait, elle allait devoir travailler pour payer ses frais de scolarité. Elle n’arrivait pas à trouver de boulot qui paye suffisamment pour payer a la fois ses études et son loyer, c’était problématique malheureusement, et la seule solution qu’elle trouva du lui faire ravalé sa fierté et sa dignité, elle commença donc à travailler dans une boite de striptease. Cela n’avait vraiment rien de valorisant, elle avait carrément honte d’elle-même mais elle ne voyait pas d’autre moyen. Certes Matt lui avait proposé de lui envoyer de l’argent plusieurs fois mais elle refusait puisque pour elle ça revenait à dire qu’elle ne savait pas se débrouiller seule et elle voulait justement prouver le contraire.
Lorsqu’elle eu vingt et un an elle apprit malheureusement la triste nouvelle de la mort d’Hayden dans un accident de voiture. Elle rassemblait le peu d’argent ainsi que le peu de dignité qu’elle avait jusqu'à Charlotte en Caroline du Nord où vivaient Hayden et Matt à cette époque. C’est la dernière fois qu’elle vue Matt se jour là, les retrouvailles fur de courte durée puisqu’elle rentra à Los Angeles. Elle aurait aimé qu’il la retienne mais après tout il ne fallait pas non plus trop espérer, il devait surement avoir d’autres choses à faire de sa vie que de s’occuper de la petite Abby désespérer. Elle aurait voulu rester puisqu’en vérité cette ville la détruisait peu à peu mais tant pis après tout elle ne voulait pas s’imposer a lui tel un boulet sous prétexte qu’au bout de quatre ans elle détestait toujours là ville où elle vivait et qu’en plus elle était entrain de lui faire perdre sa propre identité. Le fait est que Matt était la seule personne qui restait à Abby, la seule et unique, mais bientôt même son amitié ne fut plus qu’une simple illusion. Dès son retour à Los Angeles elle attendit un coup de file, elle passait ses journées enfermées dans son appartement miteux en pyjama à attendre qu’il ne lui donne un simple signe de vie, mais rien n’y fit. Ce fut son propriétaire qui vint la sortir de son enfermement pour lui réclamer le loyer, elle allait donc devoir retourner travailler, elle n’avait pas le choix.
Elle continua encore ce boulot nul jusqu’à ce qu’elle ne retombe sur CJ, en réalité elle était la stripteaseuse a son enterrement de vie de garçon, quoi de plus pathétique n’est ce pas. Le jeune réussi à lui redonner la force de se sortir de là et de toutes les autres galères dans lesquelles elle s’était mise, c’était en réalité tout ce dont elle avait besoin. En vérité elle espérait encore bêtement que Matt réapparaitrait miraculeusement et qu’il viendrait la sortir de son trou à rat, sauf qu’il ne vint jamais. Parfois elle en arrivait à se demander s’il n’avait pas été simplement qu’un rêve, une hallucination, le genre d’ami imaginaire que ce font les enfants et qui disparaisse un beau jour comme par enchantement. Elle se sentait perdue, délaissée et abandonnée sans lui, mais vue qu’il ne donnait plus aucuns signes de vie, cela ne devait pas être la même chose pour lui. Elle avait tant de fois essayé par tous les moyens de le joindre, de le retrouver mais rien n’y faisait. Elle fini par tenter le tout pour le tout, elle n’avait plus rien à perdre, elle se décida à écrire un livre, après tout c’était bien pour ça qu’elle avait bossé comme ça, pour se payer ses études de lettres et devenir écrivain alors autant réaliser ses rêves non. Le fait est que ce livre n’est pas qu’un simple livre, il s’agit de son histoire, ou plutôt la leur. Anya et Anthony, d’accord les prénoms elle ne les avait pas trouvé bien loin puisque ce sont leur troisième prénom à tout les deux mais elle voulait être sur qu’en lisant ça il comprenne et après lui personne d’autres ne le pourrait; deux amis d’enfance, elle qui l’aime de tout son être et lui qui ne la voit que comme sa meilleure amie, ils se perdent de vue car les lettres ne suffisent pas à leur amitié, elle ne l’oublie pas, ils se retrouvent puis … Puis après ? Tout roman à une fin après tout il fallait bien qu’elle en trouve une. Enfaite le roman en possède deux différentes : la fin comme elle la vivait à ce moment là, c'est-à-dire seule avec un manque constant de sa présence, et l’autre qui est enfaite la fin dont elle aurait rêvé, les deux se déroulant dans le même lieu, un hall d’aéroport, c'est-à-dire l’endroit préféré de cette chère Abigail. Mais après la parution du livre, elle n’u aucun retour de sa part. A elle se mit à penser que si ça ce trouve il était mort et qu’elle ne savait strictement rien, après tout cela faisait trois ans qu’il ne s’était pas vue.
Un an plus tard elle rencontra un homme, il lui rappelait énormément quelqu’un au niveau de son physique, en fait il fallait dire ce qui était, il s’agissait tout bonnement du sosie parfait de Matt. Lui il s’appelait Tyler, il était rédacteur dans un journal de LA, à première vue il semblait parfait. Il était gentil, serviable et il semblait vraiment s’être attacher à elle. Le fait est qu’au final il le fut un peu trop, l’homme d’une petite trentaine d’années vit tout lui tomber dessus au même moment, il perdit son travail et un proche ce qui le fit sombré dans la dépression tout comme l’alcoolisme. Cela aurait pu être encore réparable si seulement il ne s’était pas mi à passer ses nerfs sur la femme avec qui il vivait à cette époque, c'est-à-dire Abby. Elle qui pourtant avait toujours eu un tempérament de feu qui ne se laissait marcher sur les pieds par personne, elle avait finalement trouvé plus fort qu’elle et ce à son grand désespoir. Elle resta plusieurs mois à encaisser les coups encore et encore, à faire comme si de rien était, croyez moi le maquillage peu faire des merveilles par moment, tout comme les excuses qui ne valent rien mais que certaines personne gobent toujours. Malheureusement le mal que prenait le peu de dignité qu’il lui restait tout comme la souffrance de son cœur, ça ne se cache pas avec du maquillage, et les cicatrices restent.
Elle fini par en avoir assez de supporter ses colères incessantes, le fait d’être pris pour un punching ball, les menaces, les insultes et tout ce qui allait avec. C’est pourquoi en pleine nuit elle quitta l’appartement avec juste pièce d’identité, de l’argent liquide des vêtements qui ne tiendront pas la semaine et c’est tout. Sa destination, Toronto, mais elle n’ira pas en avion car il pourrait suivre sa trace, elle ira donc comme elle le peut, c'est-à-dire à pieds ou en stop.
VIE QUOTIDIENNE A JERICHO : (10 lignes minimum)
Le quotidien d’Abby à Jericho est encore inexistant pour le moment et elle n'a en réalité aucune envie qu'il n'existe puisque son but est de fuir la Californie le plus rapidement possible. Jericho n'est en réalité une simple escale sur son chemin qui devrait la conduire à Toronto, ou du moins c'était ce qu'elle comptait. Le fait est qu'elle n'avait aucunes idées que c'est ici qu'elle recroiserait le chemin de la personne qui lui manque le plus depuis tant d'années. Matt habitant dans cette ville, les paramètres qu'elle s'était fixé et auxquels elle voulait absolument se tenir son totalement chamboulés, elle ne connait rien de cette ville et ne l'apprécie pas réellement c'est pourquoi elle a d'autant plus de mal à s'imaginer rester ici plus que le temps nécessaire, c'est à dire le moins de temps possible pour ne pas que Tyler ne trouve sa trace et ne vienne la chercher ici pour la contraindre à rentrer de force à Los Angeles. Elle se connait assez bien pour avoir la certitude que s’il venait la chercher jusqu'ici, elle n'aurait d'autre choix que de le suivre. Après est ce que le fait que Matt vive ici aujourd'hui pourrait faire qu'il l'aiderait, elle n'en savait rien, peut être ne voudra-t-il même pas qu'elle rester juste pour lui. Son quotidien ici se résumera donc à dormir au motel de Jericho, enfin tant qu'il lui reste de l'argent, peut être qu'après elle finira dans un carton au bord de la route, surtout qu'il lui faudra aussi garder un peu d'argent pour laver ses vêtements à la laverie de la ville et puis après seule l'avenir pourra dire ce qui sera sa vie tout comme son quotidien ici, et surtout combien de temps il durera.
Dernière édition par Abigail L. Donovan le Mar 26 Jan - 21:51, édité 8 fois
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Sujet: Re: » Abigail Laine Donovan | Always lost in the sea Lun 2 Nov - 15:17
Bienvenue =)
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Sujet: Re: » Abigail Laine Donovan | Always lost in the sea Mer 4 Nov - 0:07
Bienvenuue J'ai hâte qu'on puisse RP (aa)
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Sujet: Re: » Abigail Laine Donovan | Always lost in the sea Sam 7 Nov - 16:42
Mercii
J'espère pouvoir finir ma présentation rapidement, puis comme ça Matt on pourra RP
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